Dylan Koehl, découvrez le créateur de nos stickers Axolotls - Part 1
Dylan Koehl, développeur chez SFEIR depuis quelques années, nous raconte à travers cette interview son parcours et ses motivations à rejoindre SFEIR.
Mais surtout… Dylan est le créateur de tous les beaux stickers Axolotl de SFEIR ! Il nous raconte donc comment lui est venu l’idée de créer ces stickers et d’où il tire son imagination débordante.
Raconte-nous ton parcours ?
J’ai commencé à m’intéresser à l’informatique au lycée, à une époque où je ne savais pas vraiment vers quoi me tourner pour mon avenir professionnel.
J’ai eu la chance de pouvoir choisir une spécialité Informatique en terminale, où j’ai découvert les joies (et les frustrations :p) du langage C.
J’avais bien apprécié les exercices tout au long de l’année et je sentais que c’est ce que je voulais faire post-bac, donc j’ai misé là-dessus pour la suite.
Après l’obtention de mon bac, je me suis dirigé vers un DUT Informatique pour voir jusqu’où je pourrais aller. Ça s’est bien passé dans l’ensemble et j'ai décidé de faire une Licence Professionnelle (le titre du diplôme est un peu long, je vous l’épargne :P). Les sujets abordés pendant cette période étaient bien plus intéressants, notamment les TPs, que j’ai adorés !
Après la licence, j’ai mis fin au train-train des cours. J’ai privilégié l’apprentissage et l’approfondissement « sur le terrain ». Chose qui m’a été très utile.
Qu’est-ce qui t’a motivé à rejoindre SFEIR ?
À l’époque, j’étais à une poignée de semaines de terminer mon apprentissage lorsque j’ai commencé à prospecter sur des sites comme LinkedIn ou Indeed. Après quelques autres entretiens moins intéressants, j’ai été contacté par l’agence de Strasbourg sur LinkedIn et la suite est à peu près claire : entretien, playoffs, et paf ! Ça fait des Chocapic 😀
Un peu plus sérieusement, les points qui ont très largement joué en la faveur de SFEIR sont l’ambiance et la valeur qu’ont les Sfeirien.ne.s au sein de l'entreprise. .
Pendant tout le processus, j’ai senti qu’on donnait de l’importance sincère à ma candidature et mes compétences et que j’étais bien plus qu’un simple développeur parmi tant d’autres.
Les échanges étaient très agréables et je savais à la fin que c’est ici que je souhaitais démarrer ma carrière (je me rappelle même avoir sauté de joie pendant mon apprentissage après avoir été accepté, c’était vraiment la classe !).
Pour moi, il est primordial d’avoir un environnement de travail où l’on se sent bien, écouté et accompagné et SFEIR remplit ces rôles avec brio !
Tout le monde connaît maintenant notre mascotte, l’Axolotl, grâce à toi et tes nombreux designs qui lui ont donné vie.
Comment as-tu commencé à faire des nouvelles versions de l’axolotl ?
J’ai toujours eu la patte de l'artiste, en quelque sorte. Je dessine depuis tout jeune sur papier, donc la possibilité de porter cela vers du numérique m’a énormément attiré !
Un peu d’histoire : peu après l’installation du nouveau plateau strasbourgeois, nous avions reçu des casiers pour ranger nos affaires (et nos jeux de plateau !).
Je me suis demandé si ça serait sympa d’avoir des visuels pour chacun, histoire de rendre les choses un peu plus “fun” pour mes collègues et moi.
À la suite de ça, j’ai réalisé sur mon temps libre une planche de 15 différentes illustrations inspirées de séries, jeux vidéo, etc. Je ne m’attendais pas du tout à ce que ça plaise autant et à partir de là, les projets se sont empilés peu à peu ! (mention spéciale à Sabrina, qui m’a encouragé à pousser mes visuels plus loin !)
Et la suite, vous la connaissez peut-être… Allant des événements plus restreints aux Devfest, quand il s’agit de stickers, ça vient souvent de moi 😀
Quelle a été ta première création ?
Ça dépend du contexte : ma première création uniquement en interne est celle citée juste au-dessus, à savoir la planche pour les casiers. Par contre, au niveau des évents, la première vraie planche que j’ai réalisée est celle pour la Devfest de Nantes en 2019 sur le thème du Rock.
À cette époque, je venais tout juste de découvrir Adobe Illustrator, le style était donc relativement simpliste (et les fichiers sources sont, comment dire… un peu désorganisés !).
Toujours est-il que j’étais content du résultat et les retours étaient encore une fois très positifs. J’ai ainsi pu continuer sur cette lancée pour les planches suivantes, tout en essayant peu à peu d’améliorer mon style graphique.
Retrouvez la suite dans le deuxième article.